Il y a quelques siècles, sur les côtes françaises de la Méditerranée, comme sur les côtes italiennes ou grecques, bref tout le long des côtes européennes de la Méditerranée, on ne trouvait pas de villages aussi charmants et paisibles que ceux que l’on y trouve aujourd’hui. Au contraire, il s’agissait de villages pauvres de pêcheurs qui vivaient constamment dans l’inquiétude : ils redoutaient sans cesse l’apparition soudaine et catastrophique des pirates, ceux qu’on appelait les « Barbaresques », venus des côtes africaines. L’un des plus célèbres de ces pirates fut Barberousse. Mais Barberousse a eu un fils aîné, devenu un pirate fameux et intelligent, qui avait réussi à constituer autour de lui, et sous son commandement, une équipe terrible. À Alger, il devint le maître incontesté et chacun de ses lieutenants étaient également bien connus. L’homme dont nous allons parler aujourd’hui fut l’un de ses lieutenants, il s’appelait Aydin, un Français, qui s’était donné le nom de "la Terreur du Diable".
Ce pirate terrifiant devint rapidement célèbre à cause d’une audace qui ne connaissait pas de limites.
En 1529, alors que la Terreur du Diable croisait autour des îles Baléares, attendant de trouver sur sa route un navire espagnol qu’il aurait pu attaquer et piller, on lui signala dans un petit port de la côte de Valence, la présence d’un grand nombre de "moriscos", des esclaves captifs des Espagnols.
— Il y a des prisonniers, des moriscos, et ils sont prêts à payer pour être délivrés.
— La belle affaire que voilà ! Et combien payent-ils ?
— Je leur ai fait demander, nous le saurons dans un prochain message. Ils veulent qu'on les emmène à Alger.
— C'est d'accord, s'ils payent le double.
Ces esclaves firent savoir au pirate qu'ils étaient d'accord, qu'ils payeraient largement. Ces esclaves n’avaient qu’une idée en tête :… La suite dans votre abonnement (cliquez ici). Abonnés, connectez-vous dans le menu.
Encore une belle histoire… Et ce n’est pas terminé !
Quant à Ibrahim, il a eu un véritable coup de foudre pour les bateaux.
Ah ? tiens donc ! Il faut qu’on s’occupe de lui amener du navire, alors ?
Ma foi pourquoi pas, c’est proposé si gentiment…
De notre côté nous avons commencé par sortir le navire d’Amerigo Vespucci, enfin une réplique miniature de quoi bien jouer !
Voici une histoire qui a tenu mon fils en haleine jusqu’à la fin, contrairement aux émissions télé. D’autres histoires avec des pirates svp!