En ce temps-là, des peuples barbares s’installaient en Gaule romaine, se mêlant aux chefferies gauloises et aux romains établis depuis plusieurs générations, adoptant leurs coutumes et leurs façons de vivre. Certains étaient devenus chrétiens, d’autres étaient restés païens, adorant les dieux des forêts et des fontaines.
Mais voici qu’au milieu du quatrième siècle surgit une tribu barbare redoutable : les Huns, dont nous avons parlé il y a plusieurs mois. On racontait que ces cavaliers étaient infatigables, mangeant et dormant sur leurs petits chevaux. Ils pillaient, tuaient, incendiaient tout sur leur passage. Les terribles hordes barbares déferlèrent en Allemagne puis en Gaule. Détruisant, pillant, ils semaient la terreur ; et tous fuyaient devant eux.

C’est ainsi que les Huns arrivèrent devant Paris, après avoir rasé la ville de Metz. Les édiles qui dirigeaient la ville furent épouvantés.
— Les Huns arrivent ! Sauvons-nous ! s’exclama un chef des commerçants.
— Attila va nous massacrer, si nous tentons de résister, dit un notable.
— Ouvrons les portes de la ville aux barbares. Peut-être ainsi serons-nous épargnés ? ajouta un clerc de notaire.
C’est alors qu’une… La suite dans votre abonnement (cliquez ici). Abonnés, connectez-vous dans le menu.
Bonjour Max Montgomery,
Le St de cette histoire se nomme comme vous et passionnant récit.
Maryam.
C’est vrai, et ce grand saint a eu une carrière de 75 ans, comme Louis XIV ! ça nous change des présidents de la république qui sont éjectés au bout de 5 ans. Et d’ailleurs tant mieux qu’ils le soient.
Bel et bien d’accord !
Bonne idée de raconter l’histoire de ces saintes, largement oubliées. Leur histoire fait partie de notre Histoire; et je remercie l’auteur de ce site de nous la faire découvrir.